Bonjour
Prudence, merci de vous
présenter à nos lecteurs ?
Je
m’appelle Idohou Prudence
Kolawolé, latéral gauche
évoluant à l’Association
Sportive de la Vallée de l’Ouémé
(ASVO).
Vous êtes
sociétaire de l’équipe de ASVO
FC depuis le début du
championnat national de ligue 1.
Dites-nous que peut-on retenir
de votre novelle aventure avec
l’équipe de Adjohoun ?
C’est ma
première saison avec le club de
la vallée. Au cours de la saison
précédente j’ai évolué sous les
couleurs de Espoir de Savalou.
Donc je n’ai pas pu effectuer la
montée avec ASVO.
ASVO
actuellement neuvième avec 15
points en ligue 1, comment vous
vivez cette aventure en ce
début de saison avec le club de
la Vallée ?
Je vis un
bon début de championnat sur le
plan personnel. Jusque-là je
compte déjà 10 titularisations
sur les 11 matchs disputés.
C’est un groupe formidable et il
rêve grand dans ce championnat.
Le début a été un peu difficile
pour nous avec quelques défaites
enregistrées mais depuis un
moment on retrouve notre groupe
très soudé.
Quel est
votre objectif à court et à long
terme en tant que joueur ?
En terme
objectif, je rêve grand et je
travaille pour. J’espère d’ici
la fin de ce championnat,
pouvoir rebondir à l’étranger.
Avez-vous
du passé avec la sélection
nationale en catégorie d’âge ?
Parles nous en !
Oui je
faisais partie de la génération
des Ulrich Quenum et Wilfried
Gbaguidi en 2012. A ce stade
j’ai eu la chance de jouer les
éliminatoires de la CAN cadette
Maroc 2013 contre le Cameroun et
le Gabon.
Un
meilleur souvenir à partager ?
Un mauvais souvenir à partager ?
Mon
meilleur souvenir est le premier
match officiel que j’ai disputé
contre le Ghana. C’est comme un
rêve d’autant plus que j’étais
encore très jeune à l’époque.
Mon mauvais souvenir est
l’élimination contre le Gabon au
stade Charles de Gaulle de
Porto-Novo. On a eu toutes les
chances de se qualifier, c’était
très dur pour moi et pour le
groupe.
Quels
joueurs vous inspire le plus
dans le football ? (Un sur le
plan local et un sur le plan
international)?
Sur le
plan local le joueur qui
m’inspire le plus est Bah Yêrê
puisqu’il était physiquement au
top. Sur le plan international
c’est l’autrichien David Alaba,
c’est même le surnom que m’ont
donné les partenaires de club.
Votre mot
de fin pour conclure cet
entretien.
Mon mot de
fin va à l’endroit de mes
parents et de ma famille qui ne
cessent de me soutenir. Merci à
tous ceux qui croient en moi. Je
vous remercie.
|