Bonjour Président.
Après Bassila, Djougou
et Bohicon, votre
fédération organise le
29 août 2021 prochain à
Parakou, une compétition
dénommée « Duathlon
Standard ». Pouvez-vous
nous faire le point les
préparatifs de cet
événement ?
Le
« Duathlon Standard » de
Parakou se prépare très
bien. Le circuit est
déjà identifié et c’est
la longue traversée de
la nouvelle voie qui
quitte la fin de clôture
du service de la
direction des TP de
Parakou et en longeant
vers le nord, et qui
passe devant le portail
du séminaire Fatima,
longeant vers la
direction nord et,
traverse la rue du
marché de Zongo et qui
finit par la grande
dorsale de la double
voie du domicile de l’e
président Yayi Boni. Sur
ce circuit, nous allons
également poser non loin
du grand marché de Zongo,
la tribune officielle où
nous allons pouvoir
prendre tous les départs
et toutes les arrivées
des trois différentes
courses. En outre, les
officiels des courses
sont déjà mobilisés et
nous aurons besoin que
de dix, qui sont à pied
d’œuvre pour la réussite
de cet événement. Ils
vont bientôt recevoir
une petite formation. Ce
sera probablement 28
août 2021 à Parakou. Des
bénévoles sont également
retenus pour suivre tout
ce qui se passe sur le
parcours et ils
serviront de guide pour
aider les policiers à
pouvoir sécuriser un
certain nombre de
carrefour dont les
engins pourraient gêner
les athlètes lors de la
traversée des ruelles.
Nous avons également
mobilisé la Police
Républicaine et nous
avons sollicité les
sapeurs-pompiers. La
presse est intensément
sollicitée à Parakou
avec certains amis à
nous de la corporation,
tant de la radio que des
journaux.
Et que peut-on
retenir des différentes
épreuves inscrites au
programme de cette
compétition ?
Le
« Duathlon Standard »,
c’est une course qui se
fait d’abord à pied et
là, sur 10 Km. Vous
finissez la course, vous
prenez votre vélo et
pour parcourez 40 Km.
Vous déposez le vélo et
enfin vous finissez avec
5 Km à pied Je vous
informe au passage que
nous attendons 25
participants,
compte-tenu de la
lourdeur et de
l’importance des efforts
à fournir. Ce n’est donc
pas donné à tout le
monde. Il ne nous est
pas autorisé de prendre
des athlètes moins de 18
ans.
Le président Richard Assah
donnant des instructions aus
athlètes
avant le coup d'envoi de la
course au vélo lors du "Sprint
Duathlon de Bassila"
Contrairement à ce
que l’on a observé du
côté de Bassila, Djougou
et Bohicon, on constate
que pour le « Duathlon
Standard », des quatre
athlètes détectés par la
fédération seront sur la
ligne de départ.
Dits-nous, pourquoi
cette option et quels
sont les objectifs que
vous visiez ?
L’événement de Parakou
est une suite logique de
préparations des enfants
pour les prochains jeux
africains et des jeux
olympiques de la
jeunesse. Et pour les
quatre athlètes détectés
dans les deux zones (Bassila
et Djougou) lors des
précédents déplacements,
nous avons constaté
qu’ils sont bons et que
nous voulons également
compter sur eux. C’est
justement pour cela que
nous avons voulu les
amener de cette capacité
d’efforts qu’ils ont
fournis en faisant le «
Duathlon Sprint », au «
Duathlon Standard », qui
n’est rien d’autre
qu’une course
d’endurance, donc une
course sur une longue
distance, c’est-à-dire «
courir le plus longtemps
possible ». Et
l’objectif est de jauger
leur niveau et de voir
de quoi ils sont
capables, puisque nous
voulons encore les
amener à participer à
des autres grandes
compétitions. Nous
voulons également
compéter sur ces quatre
athlètes pour mettre en
place notre équipe
nationale, afin de les
faire voyager et qu’ils
puissent faire parler du
Bénin à l’étranger. A
cet effet, la Fédération
béninoise de triathlon (Fébétri)
se propose de pouvoir
travailler afin que nous
puissions avoir deux
candidats (fille et
garçon) qui pourraient
être présents aux jeux
africains et aux Jeux
Olympiques de la
Jeunesse en 2026
Enfin, je vous informe
que l’ONG américaine «
CSR Multisports » avec
laquelle nous
travaillons, a déjà
promis quatre vélos
professionnels pour ces
quatre meilleurs de
Bassila et de Djougou et
attend leur confirmation
au niveau du « Duathlon
Standard », pour pouvoir
leur offrir d’autres
opportunités. La preuve,
c’est qu’en septembre
prochain, le responsable
de cette ONG Gabe Manner
sera à Cotonou pour
préparer notre événement
de décembre. Il viendra
avec les deux premiers
vélos et en décembre, il
reviendra avec les deux
derniers promis
Que peut-on
retenir pour ce qui
concerne les prochaines
activités de la
fédération béninoise de
triathlon après le «
Duathlon Standard » de
de Parakou
Merci beaucoup. En
septembre prochain, nous
aurons le championnat
national de triathlon
2021 et les fine-fleurs
» des différentes étapes
dont celle de Parakou,
pourront se retrouver à
ce grand rendez-vous.
Enfin en décembre, nous
aurons le « Pic » de
toutes nos compétitions
à Cotonou, avec la
grande compétition de
Triathlon dans la zone
balnéaire qui est en
train d’être construite
dans la zone d’El Dorado.
Et là, nous parlerons de
« Triathlon Standard »
et de « Half Triathlon
». Pour le « Half
Triathlon », les
athlètes vont parcourir
10 Km de course, 40 Km
de vélo et 5 Km à pied.
Par contre, pour le «
Half Triathlon », ce
sera 1500m de natation,
90 km de vélo et 21 Km
de course. Et déjà, nous
lançons un appel à tous
ceux qui désire
participer à cette
compétition de décembre
2021, à commencer par se
bousculer. Les fiches
d’inscription seront
bientôt disponibles
Votre mot de fin
conclure cet entretien ?
Nous invitons la
population béninoise en
général et celle de
Parakou à faire nombreux
le déplacement pour
soutenir les athlètes.
Aussi, les inscriptions
restent ouvertes pour
ceux qui désirent
compétir.
Je voudrais remercier
les autorités de la
ville de Parakou pour
tout ce qu’ils font pour
la réussite de cette
activité. Parce que nous
étions déjà à Parakou
l’année dernière pour
tenter l’expérience.
Mais à cause du
Covid-19, nous n’avons
pas pu faire la
compétition. Mais cette
fois-ci, ce sera une
réalité. Je remercie
également le Maire et
tout son conseil
municipal, le Préfet et
tous ses collaborateurs,
la Police Républicaine,
les Sapeurs-pompiers,
les chefs quartiers, les
collègues enseignants
d’éducation physique,
les responsables des
divers clubs que nous
avons à Parakou
actuellement sans
oublier la presse. Je
voudrais également dire
merci aux autorités du
es sports, du FNDAJSL et
du CNOS-Ben qui ne
cessent de nous soutenir
afin que l’événement
Triathlon puisse être
porté haut afin que
demain, l’on puisse
entendre que notre
discipline a hissé haut
le drapeau national à
tous les événements du
contient et du monde
entier